cellule de retention n°2

Arielle, trop efrayer par l'obscuritée de la cellule préféra se blotir dans les bras de neid qui pourais la protéger de ce qui pourais se caché dans l'ombre de la cellule. Elle s'endormit rapidement trop afaiblit pour faire autre chose

Arielle se réveilla, quelques heures après s'être endormie, prise d'un afreu cauchemard qui la prenais a chaque fois qu'elle étais dans une cellule. elle s'assit sur le bord du lit et éclata en sanglot esayant de ne pas faire trop de bruit pour ne pas réveillé neid

Neidanac se reveilla ayant le someil leger il sassit au cotté de Arielle voulant avoir des explication sur cette tristesse subite.

Arielle se leva et alla pleurer en boulle dans son coin répétant toujours «pourquoi?...pourquoi?» ne sessant de pleurer

Neidanac va dans le coin et prend arielle dans ses bras

-dis moi se quil se passe je veut savoir dis moi tous ma belle

Arielle leva ses yeux pleins de larmes sur neid

-ce...ce n'est rien...juste un cauchemard...

Elle ne voulais pas passé pour une froussarde et tantais de réduire l'afaire

Neidanac nen croyais pas un mot trois jour elel dormait plus trois jour a pleurer trois jour sans manger il avait bien quelque chose.

-ce nest pas vrai il a une raison derriere tous sa je suis la tu peut me faire confiance

Arielle ne voulais pas passé pour une pleurnicharde mais finit par craché le morceau

-c'est...c'est mon père... il...la famille de ma mère l'a assassiner devans mes yeux...et sous prétexte qu'il ne m'aprenais pas de bonnes valeures...ce sont des fanatics...ma mère c'est suicider de honte...je ...je revoit ces himages dans mes cauchemards lorsque je suis en prison

Et elle éclata en sanglot

Comprenant maintenant les pleurs qui ne cessait pas il comprenait aussi toute la colere qui resentais tous se que elle voulais cest être aimé avoir une famille pour le cherir. doucement il passe sa main sur son epaule pour guidez sa tete sur son epaule et pour la laisez pleurer.

- Je te comprend ma mère je ne lai jamais connu alors que mon pere vit dans le suf fessant comme si il etais sans enfant, je sais se que tu eprouve ils te manque cest normal. Ma fille vien de mourrir elle etais comme toi fougueuse et n'écoutais pas les consigne mais je l'aimait tres fort jai l'impresion de la voir en toi.

Arielle reguarda neid dans les yeux et se rendormit

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